Vaste silence

En ce silence si vaste, ce silence qui berce, qui interroge, qui pétrit, qui accueille, qui contient tout; déposer les joies et les peines pour qu'au creuset de cet espace infini, il n'y ait plus de dénomination, de classification, de jugement, de gouffre qui étouffe et enferme la Lumière du monde.
Danielle

Photo: Écho lumineux d'un temps de silence. Entrelacs octobre 2016.

L'instant présent

En nous établissant dans l’instant présent, nous pouvons voir toutes les beautés et les merveilles qui nous entourent. Nous pouvons être heureux simplement en étant conscients de ce qui est sous nos yeux. 
Thich Nhat Hanh

Photo: Présence chantante au jardin, automne 2016.

Ciel d'humanité

Qu'il est doux ce silence
Qu'il est intime cet espace
Qu'il est vaste ce ciel
Du dessus et du dessous

Le ciel du dessous, le ciel bas
Le ciel enraciné au profond de la terre
Le ciel de l'humus
Le ciel de l'humanité
Danielle

Photo: Ciel du dessus et ciel du dessous à Entrelacs  le 15 novembre 2016. Bénédiction d'une semaine de silence dans l'Intime.

Abondance des eaux

 
"L'abondance des eaux est plus grande que l'intensité de ta soif."
Y. Girard, Lève-toi, resplendis!

Alors, toi, enfant du Souffle, poussé par ta soif avance au large, là est l'abondance!

Photo: Magnificence des eaux du Fjord du Saguenay le 23 août 2013.

Ce sens intérieur

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

À cette hauteur où le vent souffle toujours froid, où le mystère
devient presque palpable, d’une proximité, d’une densité troublantes,
j’aimerais pouvoir rejoindre en toi l’étincelle qui est au centre de
l’âme, ce sens intérieur qui dépasse ta simple histoire, qui peut
atteindre et pénétrer ces profondeurs insoupçonnées, les envelopper
d’une connaissance muette qui rejoint les moments de prière où
rien ne cherche à se dire, où la plénitude est telle, où la présence qui
te porte est si intensément réelle qu’elle suffit à te combler. 

Philippe Mac Leod, L'infini en toute vie. 

 

Photo: Plénitude du repos en Savoie aux abords de Saint Martin de Belleville. Écho de 1998.